La politique, c’est avant tout le dialogue et l’écoute de l’autre. Pour Philippe FAIT, la politique, c’est, plutôt, l’égocentrisme, l’égotisme et une sincérité à géométrie variable. Hormis ces quelques singularités, il est un bon Maire…
Un bon Maire qui n’accepte pas que les adjoints émettent un avis différent de sa pensée unique. Les adjoints récalcitrants disposent de deux choix : se taire ou se démettre.
Un bon Maire, qui range les tondeuses au profit des herbivores pour l’entretien des grands espaces sans pour autant embellir et fleurir l’intérieur de la commune.
Un bon Maire, qui sous couvert d’une pseudo-concertation implante une signalisation routière singulière.
Un bon Maire, qui s’enorgueillit, sans vergogne, des aménagements du port.
Un bon Maire, qui détruit, sournoisement, le tissus associatif lorsqu’il n’en maitrise pas le fonctionnement.
Un bon Maire, qui promet un grand pôle muséal sans réflexion préalable et sans projection financière.
Un bon Maire, qui annonce le pôle gare en imaginant que le financement sera assuré par les autres.
Enfin, un bon Maire, qui économise partout mais toujours en manque d’argent sauf pour la communication outrancière.
Philippe FAIT, enfermé dans un petit cercle de faire valoir, est une bulle qui continue de gonfler mais qui finira par exploser.